La justice sur les rails La vie du peuple et la compagnie Vale do Rio Doce au long de la voie ferrovière “Carajás”
9 de abril, 2009

Réponse d’action révendiquée par la justice et le respect du milieu ambiental

Découvert par des grandes entreprises transnationales à l’époque de la dictature militaire, la région du Brésil connue comme “Carajás” est une grande province minéralogique située dans l’Amazonie orientale, qui contient le meilleur réserve mondial du fer de haut calibre, d’importants réserves de magnésium, du cuivre, de bauxite, du nikel, de l’or et d’autres richesses minières.

En plus d’amples possibilités d’exploitation forestières, la région compte avec d’énormes potencialités hydroélectriques. L’exploitation minière du fer dans la savane de Carajás située á l’est de l’état de Pará, a commencé au cours des années 60 et a gagné un grand impact durant des décennies suivantes. Quand à l’entreprise transnationale, la compagnie ‘Vale do Rio Doce’ (aujourd’hui Vale) a assumé le contrôle total de l’exploitation des ressources minières dans la région et a crée en 1979 le programme du grand Carajás, avec la finalité de produire les ressources minières industrielles pour le ravitaillement sur le marché international. Pour consolider cet ambitieux projet, les oeuvres d’infra-structures de grands impacts comme par exemple l’usine hydro-électrique de Tucurui au sud-est de Pará, le port de ponte de bois à Saint Luis- Maranhão ( Port de grand mouvements de charges du nord, nord-est et voie ferrée Carajás) et tant d’autres ont éte réalisées. 2 -La voie ferrée Carajás

La voie ferrée de Carajás fût inaugurée le 28 février 1985. Elle a 892 km d’extension et partage 25 municipes ( 04 de Pará et 21 de Maranhão) interliés par la province minéralogique de Carajás, à Pará avec le port de ponte de bois à Saint Luis. Elle est directement operée par la Vale à travers la connection effectuée par l’union de 1976 et renouvelée en 1997 plus de 30 ans après la privatisation de la compagnie.

Ayant d’excelentes conditions techniques, la Voie ferrée Carajás ( EFC) est l’une des voies ferrées avec de grands indices de productions du monde, devenue fondamentale par de hauts résultas obtenus de manière croissante par la Vale. En plus du fer et du magnésium, la EFC transportait annuellement des tonnes des autres minerais et aussi des produits comme bois ciment, voitures, engrais, combustibles, produits siderurgiques et agricoles séparant le soja produit au sud de Maranhão, Piaui, Pará et Mato Grosso. Cette grande entreprise a favorisé en grande partie le paysage de l’amazonie, en occasionnant de nouvelles activités économiques telle comme la siderurgie), en plus elle a provoqué un grand changement radical dans la vie de la population en particulier pour le respect des peuples indigènes. N’ayant pas rencontré entre ses priorités et par la force des obligations imposées par le contrait de connection, la EFC transportait les passagers. Tout ce qui pouvait être le bénéfice de la population a occasionné des problèmes dû au contingent de personnes qui prennent le train à Maranhão, à la recherche d’opportunités de travail au sud-est Paraén, hormis sans aucune capacité pour excercer n’importe quel travail spécifique. Cette manque de préparation a produit des fracas et des accidents. La situation s’agravait, mais la EFC, était considérée comme un franc processus de multiplication des voies sur toute l’étendue avec l’intention d’atteindre en 2010 une production de 100 millions de tonnes par an. Ceci a occasioné des oeuvres de grandes étendues, des déviations et la création des gares , des trains et des locomotives de 312 wagons.Ce fait a généré des impacts sur le milieu ambiential et sur les conditions de vie des personnes qui vivent tout au long des rails. Contexte actuel Le grand pôle minière de Carajás est actuellement le meilleur complexe minière métaligique du monde. Au long de la EFC existent 14 siderurgies, concentrées en un rayon de 150 km, instalées principalement dans les régions de Narabá / Pará et Açailândia / Maranhão.

Le minéral de fer est exporté (100% comme au cas de plusieurs séderugies) pour les marchés des EUA, d’Europe, de Chine et Japon. Chaque Siderugie peut arriver à consommer plus de 300 tonnes de charbon de bois par jour. Ceci constribue beaucoup au déboisement de la région. Actuellement les superfícies de forêts natives de la région sont presque inexistantes. Ce modèle économique est désagréable et emploie assez de personnes en comparaison avec d’autres formes d’utiliser le sol, concentré sur le pouvoir de l’argent et de peu d’entrepreneurs de la région. Ce tipe ne permet aucun débat au respect des alternatives possibles et affecte la santé du peuple à cause d’extrêmes contaminations ambientales. C’est convenant de montrer que Vale est aujourd’hui l’entreprise champéon d’amendes données par le IBAMA, l’organe responsable pour la protection ambientale au niveau féderal. Dépuis sa privatisation, Vale a déjà reçu 56 avertissements penaux pour une valeur de 37 millons de reais( monnaie bresilienne) d’amende.

Ces pénalités normalement sont fruit du non accomplissement des conditions imposées au moment du débit ambiental. Comme alternative à ce gigandesque multinational, de petites expériences sont en en train de se dévélopper dépuis la base: (cours et initiatives d’agro-écologie, liés à la production familière dans les milieux ruraux. Les expériences de comercialisation locale Campagne-ville, projets de réciclage et de petites productions alternatives au sein de la ville. En plus de cela, Il y a des possibilités de promouvoir le micro- crédit. Il existe une moderne infra-structure en faveur des nouvelles activités industrielles qui ont prevalu dans la région la concentration d’entrée, de terres, et l’avance du processus d’exclusion sociale, considérant le bas retour économique pour le pays et fondement pour les communautés locales. En dessous de la fausse image du progrès et du dévéloppement, on assiste au pillage des ressources en faveur des intérêts privés et étrangers soutenus par le côde des nations hiegémoniques gouvernées par les lois du marché, à l’échange de la destruction de l’état et de l’avertissement du peuple brésilien. Le cas emblèmatique de Açailândia

Açailândia est une ville estratégique pour Vale, étant donné que c’est dans ce munícipe de l’intérieur de Maranhâo que EFC se connecte avec la voie ferrovière Nord- sud. L’ampliation de cette dernière ligne de train qui prétend unir Goiânia-Goiás à Bélem- Pará est considérée comme un des projets prioritaires de l’infra-structure à être amené en fin au Brésil, avec un bénéfice d’agro-négocient. Aussi dans ce munícipe on rencontre le croisement de la route Bélem- Brasilia ( Br-110) avec la Br-222 qui mène de Fortaleza-Ceará à Marabá- Pará. La population de Açailândia (Maranhão) a éte en majorité victime de plusieurs formes de dégradation ambientales. Entre tous les munícipes qui sont traversés par EFC, Açailândia constitue un cas tellement emblèmatique, dû à une concentration en une seule aire de variables tipes de situations qui s’imposent au bien- être de la population ( mines, déboisement, monoculture d’eucaliptus, polution ambientale dû à la siderurgie et à des procedures de charbon de bois, travail- esclave, misère, dénutrition et l’exploitation sexuelle enfantil). On traite d’un contexte expressif de toute une région (Carajás) où les problèmes sont très semblables et la force du peuple est tellement improporsionnelle à celle des grandes enterprises qui travaillent dans la région.

La campagne “Justice sur les rails” a commencé vers la fin de l’année 2007, par l’initiative des missionnaires comboniens (congrégation de l’Eglise catolique) qui travaille dans diverses régions de l’état de Maranhão, avec une adhesion rapide d’autres groupes et organismes que aujourd’hui compose sa coordination exécutive et sa ligne d’action. Nous assumons comme priorité la défense du milieu ambiental et des populations menassées dans la région amazonique, spécialement celles qui sont situées au long de la voie ferrée. Nous prétendons également faire appel l’attention nationale et internationale pour les dégâts causés aux peuples indigénes et aussi aux travailleurs, victimes d’exploitation. La campagne travaille avec le souci d’incluir trois secteurs prioritaires de la société: les mouvements populaires, la base de la population, les moyens académiques et les institutions publiques locales.

A cet effet nous voulons profiter de l’occasion du Forum Social Mundial ( Belem- janvier 2009). Le FSM tient à favoriser une grande visibilité à la grave situation de la région afin de permettre une contribution pour que soient établies les aliances plus amples au niveau national et international. L’expérience de pression sur Vale à Carajás peut se convertir comme modèle pour d’autres régions.

Les objectifs de notre action sont principalement les suivants:

  • Evaluer l’impact réel des activités de la compagnie Vale do Rio Doce (Vale) au long de la dénommée aire d’influence de la voie ferrée.
  • Provoquer le débat sur les conditions des mécanismes qui favorisent la internationalisation des ressources de Vale de manière à promouvoir Le dévéloppement soutenable des communautés qui vivent à l’aire de l’influence de la EFC.

C’est nécessaire révèler qu’au moment de sa privatisation, Vale avait l’obligation de contribuyer à un fond de dévéloppement qui a viré, tandis qu’elle était une entreprise craque qui obligeait à passer le 8% de la fracturation pour le fond, qui devait être investie en faveur de la population directement affectée. L’obligation de la contribution par le fond n’est pas cessée d’exister avec la privatisation de la compagnie. Dès l’or, Vale, á travers une fondation homonime a appliqué une politique de bénéfices sociaux au moyen de petits projets sociaux, avec la contribution des ressources absolument improportionnelles aux normes des résultas annuels de l’entreprise et sans aucun engagement permanent et obligatoire avec la population locale. On entrevoit que la possibilité des populations administratives publiques et locales puissent payer des indamnités conformes aux effets de l’impact sócio- ambiental causé par le cicle des mines. Ce procès qui peut conduire à des termes de juste conduite, pouvait résulter en un fond de dévéloppement à ce que participent l’état, Vale et que soit administré de manière paritaire avec la société civile pour des inversions ambientales ( dans le domaine de l’agro-écologie, reboisement avec des espèces natives, remplacées par l’agriculture familière et coopérative en recupérant les rivères) et aussi de caractère social. La campagne déjà a commencé son travail au cours de cette année 2008 en diverses actions à savoir:
1-Etude et recherche ( collection des données sur l’impact ambiental de la voie ferrée, documentation des dégâts causés à des personnes, au sol, les lois ambientales et les accords de Vale avec les munícipes traversés par la voie ferrée, en comparaison de la situation dans la région de Carajás avec d’autres cas similaires au Brésil et à l’extérieur, l’analyse des données économiques-contables de Vale, etc).
2-Conscientiser et mobiliser des personnes (réalisation des séminaires, production du matériel de publication, petits documentaires, livrets, pagnes d’internet, rencontres de formation…).

  • Renforcement de la ligne d’action en aidant des groupes et mouvements intéressés tant au niveau national comme international.

Pour ce fait une coordination composée par les représentants des organizations sociales, professionnelles libérales, professeurs et des rechercheurs universitaires a déjà commencé les premiers pas de ce travail. Cette coordination participe de cette lutte pour la justice et d’égale distribution des biens de la terre, pour la vie des peuples et du milieu ambiental au long de la voie ferrée. Coordination de la campagne “Justice Sur les rails”

Contact:

justicanostrilhos@gmail.com 00xx99-35381787

00xx99-81128913